Le récit photographique de Claude Le Gall privilégie un chromatisme et un traitement de la lumière qui accordent à cette fête galicienne singulière, a rapa das bestas, une image intemporelle. Toute trace de chronologie est effacée au profit du seul déroulement du rituel. La plupart de ces images ont été prises à Sabucedo, province de Pontevedra, en juillet 1988.

Revue n°191 novembre-décembre 2012


A lire également

L’amour à fleur de peau et de mots
Double première pour le court métrage Je les aime tous, portrait de l’écrivain et prostituée suisse Grisélidis Réal. Le documentariste Guillaume Kozakiewiez s’essaie avec brio à…

Erwan Keravec, créateur de territoires sonores
Après une riche formation en cornemuse commencée dès l’enfance, le Morbihannais Erwan Keravec s’est progressivement affranchi de la culture traditionnelle de son instrument. Il a alors opté pour une…

Carnet de notes
Guy Le Querrec ou la photographie au coeur de la musique. Après le “Carnet de noces” paru dans le numéro 200, c’est un “Carnet de notes” que propose…

Mariscadoras, des femmes contre vents et marées
Région la plus importante de la pêche artisanale d’Espagne, la Galice est réputée pour sa pêche aux coquillages pratiquée essentiellement par des femmes : les mariscadoras….

Le double rendez-vous de Pierre Péron
Il fallait bien un Pierre Péron (1905-1988), artiste aussi talentueux que prolifique, pour inciter les musées brestois des beaux-arts et de la Marine à conjuguer leurs efforts pour…

Pascale Breton, la cinéaste et le territoire
Elle se pose devant vous avec de grandes lunettes noires qui cachent ses yeux verts. Un air d’Isabelle Adjani, pas typiquement finistérienne pour une fille née à Morlaix….