À bientôt quatre-vingt-un ans, Yannig Baron reste un infatigable défenseur de la culture bretonne. Son combat pour l’enseignement de la langue à l’école est l’une des facettes les plus remarquables du parcours éclectique d’un autodidacte convaincant.
Autres articles de ce numéro:
A lire également
Robin Foster, de rock et d’embruns
Installé à la pointe Finistère, à Camaret, Robin Foster est devenu, en deux décennies, une figure incontournable de la scène post-rock. Compositeur de musique de films…
Jean-Jacques Goasdoué, en route…
“Tu réarmes ton bateau, tu refais les vivres et à un moment donné tu pars pour une nouvelle aventure.” C’est ainsi que Jean-Jacques Goasdoué, né dans une famille de marins,…
Ambroisine Bré, dans les chemins de traverse de la mezzo-soprano
Ambroisine Bré, mezzo-soprano, est l’une des étoiles montantes de la scène lyrique française. Originaire de La Trinité-sur-mer, dans le Morbihan, elle a dessiné son parcours à…
Un bout de chemin… avec François Jouas-Poutrel
L’écrivain Hervé Bellec nous dépeint, à amples foulées, une personnalité dans un paysage. C’est à l’embouchure du Trieux qu’il s’est isolé en compagnie de François Jouas-Poutrel,…
Jean-Bernard Huon , frankiz ur peizant stourmer
Traduction de l’article en breton que vous retrouverez dans votre exemplaire papier d’ArMen n° 235 Jean-Bernard Huon, la liberté d’un paysan en résistance Il a choisi…
Nolwenn Faligot, l’exigence de la beauté
Elle a porté le costume traditionnel et le revêt encore. Avec grâce et fierté. Cet héritage continue à l’inspirer alors qu’elle termine ses études dans l’une des plus…