Pointure internationale en biologie des pêches maritimes, Ray Hilborn est venu en Bretagne témoigner de la nécessité de partager les connaissances entre professionnels et scientifiques pour gérer les pêcheries. Un propos qui fait écho aux projets initiés selon cette démarche par les pêcheurs bretons.
Autres articles de ce numéro:
A lire également
La blanche et la rouge
La fraise, d’un blanc pâle, qu’Amédée François Frézier débusque lors de son voyage sur les côtes chiliennes au XVIIIe siècle et rapporte en France, est aujourd’hui encore cultivée, avec…
Le plancton fait la leçon en rade
À cheval sur les mondes végétal et animal avec ses millions d’espèces, le plancton est un maillon essentiel de la biodiversité marine, mal identifié car souvent invisible à…
Éloge d’un cancre, le crabe vert
“Je n’ai jamais connu le nombre de mes frères et sœurs, et mes plus belles journées d’enfance se sont passées à me battre avec eux, sur le sable…
Les plantes menacées sur liste rouge
Au cœur des tourbières ou entre les blés, le conservatoire botanique national de Brest observe la flore indigène. Fruit de trente années de ce travail :…
Les frères Morvan, héritiers d’une tradition orale
Leurs airs à danser font un bien fou aux amateurs de festoùnoz. Leurs connaissances des herbes aux corps des gens comme des bêtes. Dans les deux…
Amelia Curd, férue de biodiversité marine
De Vancouver à Brest en passant par Dinard et Southampton, Amelia Curd explore la biodiversité des mers. Aujourd’hui, elle coordonne un projet de surveillance des eaux bretonnes.