Nourricière, la baie du mont Saint-Michel l’est pour de nombreuses espèces animales et végétales. C’est ce qui la rend unique, originale et merveilleuse. Petit inventaire sur le terrain en compagnie de l’un des acteurs impliqués dans la gestion de ce patrimoine à valeur universelle, Mickaël Mary, du Conservatoire du littoral.
Autres articles de ce numéro:
A lire également
Parc naturel ou culturel ?
L’expérience du parc naturel régional d’Armorique révèle l’évolution d’un concept amené à opérer un retour aux sources pour se donner un avenir. Une histoire à méditer par son…
Voyage au centre du végétal
“Ce qui m’amuse, c’est d’explorer, de me surprendre et de surprendre”, énonce Christophe Baley, chercheur à l’université de Bretagne-Sud à Lorient. Son domaine de prédilection ?…
Le joyau de la rivière
Le photographe Erwan Balança prend la plume pour raconter sa relation particulière avec un oiseau qui le fascine depuis l’enfance. Devant ses objectifs, le martin-pêcheur, si…
Pêcheurs et scientifiques sur un même bateau
Pointure internationale en biologie des pêches maritimes, Ray Hilborn est venu en Bretagne témoigner de la nécessité de partager les connaissances entre professionnels et scientifiques pour gérer les…
Panicaut vivipare : Belz terre de résistance
Belz est le seul endroit en France où pousse le panicaut vivipare. Sa sauvegarde tient dans un programme coordonné par le Conservatoire national botanique de Brest….
Distro ar buzhug
P’edo Gad, Doux ha Tilly e-kreiz an tourmant ruz, ez eus bet embannet war ar groaz e oa echu-mik gant ar pezh a veze lakaet da batrom…
