Aujourd’hui activité isolée qui s’apprend dans l’unique école française du genre, à Fayl-Billot en Haute-Marne, la vannerie, en s’adaptant au monde moderne, a perdu ses spécificités de terroirs, très marquées en Bretagne et intimement liées aux besoins domestiques et économiques des territoires, transmises au sein de la famille lors de séances de tressage collectives. Elle y a, par contre, gagné en valeurs artistiques grâce à l’adaptabilité et à la créativité des derniers passionnés de cette discipline séculaire.
Autres articles de ce numéro:
A lire également
Service hydrographique et océanographique de la Marine – À la mesure de la mer depuis 300 ans
Depuis Brest et sur tous les océans, les équipes du Service hydrographique et océanographique de la Marine mesurent les hauteurs d’eau et dressent les cartes nécessaires…
À la découverte de la franc-maçonnerie bretonne – Une histoire “gwenn-ha-du”
La franc-maçonnerie ! Le terme interpelle, interroge, suscite parfois maints fantasmes – surtout en France, une nation qui passe pour avoir inventé le concept de “complotisme”…
Le repassage de coiffe
La coiffe bretonne, symbole d’identité d’une région mais surtout de la femme qui la porte. Grâce à elle, on sait tout d’un simple regard : le…
Les bonnes ondes associatives de la langue bretonne
Entre une audience pas simple à conforter et des têtes qui changent aux directions des antennes, les quatre radios associatives pratiquant le breton s’adaptent aux défis…
Réserve de vie sauvage du Trégor, la cloche renversée
La réserve de vie sauvage du Trégor, sur la commune de Ploubezre, dans les Côtes-d’Armor, est une petite aire protégée à la fois originale par son…
Black Faces Breizh, les écopasteurs des monts d’Arrée
À la fin de ce mois de septembre, les randonneurs se préparent à accompagner les brebis qui redescendent des monts d’Arrée et qui ont pâturé tout…
