À l’heure où l’intérêt envers les plantes va croissant, à l’heure où la législation relative au métier d’herboriste parfois mal perçu pourrait évoluer, les discussions vont bon train et chacun de s’interroger sur l’avenir des simples. En Bretagne, le nombre de producteurs est passé, en trente ans, de deux à soixante-dix-huit.
Autres articles de ce numéro:
- Anaïs Kerhoas Des simples au goût de liberté
- Les frères Morvan, héritiers d’une tradition orale
- L’herboristerie en regain
- Les nouveaux herboristes
- Laurence Keunebrock Le paradoxe des simples
- L’eldorado des oiseaux marins
- Le retour au pays du géographe Jean Ollivro
- Le traité de paix d’une guerre sans fin
A lire également
Une charge émotionnelle et historique
L’archéologie sous-marine a une place bien déterminée au musée national de la Marine, à Paris et aussi à Port-Louis comme à Brest. Depuis 1997, il existe…
Corsaires de Bretagne
Peuple de marins, les Bretons ont pratiqué la guerre de course depuis le Moyen Âge, notamment pendant la grande époque des guerres de Louis XIV. Le…
Rennes et la Bretagne
Certains évoquent Rennes comme la dernière station de métro avant Paris et ces propos sont dangereux sous peine, à terme, de réduire la Bretagne à une…
Port-Louis, sentinelle de la rade
À l’entrée de la rade de Lorient, la presqu’île de Port-Louis est depuis le xvie siècle l’élément central d’un système fortifié complexe qui n’a cessé d’évoluer….
Un héritage maritime
En vingt ans, Lorient La Base est devenue un modèle de reconversion de friches industrielles. Christophe Cérino, ingénieur de recherche en histoire maritime à l’université de…
Aran, en Irlande
Des îles au bord du monde Tout à l’ouest du monde, les îles d’Aran sont trois cailloux pelés battus neuf mois sur douze par toutes les…