Le parcours renouvelé du musée permet de mieux comprendre la révolution artistique qui s’est jouée dans la cité des peintres un siècle durant. Estelle Guille des Buttes-Fresneau, conservatrice en chef, en explique la philosophie.
Autres articles de ce numéro:
A lire également
OEil tendre sur un monde de femmes
Le réalisateur Nicolas Leborgne a glissé sa caméra parmi quinze femmes en réinsertion et suivi un atelier chorégraphique où elles réapprennent à communiquer avec leur corps, les autres…
Goudie, l’Écossais de Bretagne
La Bretagne est terre des peintres. Elle accueille dans les années 1960 un Écossais, Alexander Goudie, dont la réputation n’est plus à faire outre-Manche. Chaque été, pendant plus…
Centre GwinZegal, focus sur le monde rural
À Guingamp, le centre d’art et de recherche GwinZegal poursuit son travail d’éducation et de diffusion autour de la photographie, en associant sa vocation esthétique à…
Kerguéhennec, trente ans à défendre l’art
Réputé pour son parc de sculptures et la présence du fonds Tal Coat, le domaine départemental de Kerguéhennec fête ses trente ans d’existence en rendant hommage au paysage…
Chasseur d’épices
Depuis plus de trente ans, si Olivier Roellinger compose des poudres d’épices dans ses cuisines, ce n’est pas pour réaliser une cuisine exotique mais pour exprimer, avec sa…
Le double rendez-vous de Pierre Péron
Il fallait bien un Pierre Péron (1905-1988), artiste aussi talentueux que prolifique, pour inciter les musées brestois des beaux-arts et de la Marine à conjuguer leurs efforts pour…