Depuis plus de trente ans, si Olivier Roellinger compose des poudres d’épices dans ses cuisines, ce n’est pas pour réaliser une cuisine exotique mais pour exprimer, avec sa mémoire d’enfant de Bretagne, le goût de l’aventure, le goût du monde.

Revue n°194 mai-juin 2013
Pour aller plus loin:
A lire également
L’amour à fleur de peau et de mots
Double première pour le court métrage Je les aime tous, portrait de l’écrivain et prostituée suisse Grisélidis Réal. Le documentariste Guillaume Kozakiewiez s’essaie avec brio à…
Teatr Piba, les héritiers trouvent leur voie
Strollad ar Vro Bagan, la doyenne des troupes professionnelles de théâtre en breton, fête cette année ses cinquante ans d’existence. Elle a suscité plus d’une vocation et certains…
Gauguin, entre Japon et Bretagne
En cette année 2012, durant laquelle douze musées bretons ont honoré le Japon, l’historienne de l’art Denise Delouche souligne combien Paul Gauguin, amoureux à la fois…
Marie Hélia, au bonheur des dames !
Elle habite rue Louise-Michel, l’icône révolutionnaire, anarchiste et féministe, et ça n’a rien d’un hasard. On reconnaît dans sa maison familiale le décor de la salle à manger…
Le costume breton inspire la mode
Ignoré pendant des siècles, le costume régional suscite intérêt et admiration lorsque le regard des artistes, venus visiter la Bretagne, se pose sur lui. Au moment où, dès…
“Dis moi ce qui est sacré pour toi…”
L’art religieux n’est plus, au sens traditionnel du terme. Il revêt de nouvelles formes. L’exposition “Briser le toit de la maison, le sacré dans l’art” à l’École…