Aujourd’hui activité isolée qui s’apprend dans l’unique école française du genre, à Fayl-Billot en Haute-Marne, la vannerie, en s’adaptant au monde moderne, a perdu ses spécificités de terroirs, très marquées en Bretagne et intimement liées aux besoins domestiques et économiques des territoires, transmises au sein de la famille lors de séances de tressage collectives. Elle y a, par contre, gagné en valeurs artistiques grâce à l’adaptabilité et à la créativité des derniers passionnés de cette discipline séculaire.
Autres articles de ce numéro:
A lire également
Retour au pays Pourleth – Là où serait né l’État breton…
Sans vouloir se hisser au rang de prophète, il est toujours délicat, voire un rien risqué, d’évoquer son propre pays, si on n’y habite plus, si…
La fille de Philou prend le large
Morgane Ursault-Poupon naît l’année où son père Philippe Poupon remporte la Route du Rhum. Pendant de longs mois, la navigatrice bretonne s’est préparée pour être au…
La loi Climat et Résilience au secours des friches agro-industrielles. L’exemple de l’ex-Sovipor à la Trinité-Porhoët
Elles ont poussé comme des champignons, dans les années 1980, dans les petites communes du centre-Bretagne, pour accompagner le développement de l’agriculture hors-sol. Ces petites unités…
Réserve des Sept-Îles, Île-Grande. La lpo veille et informe sur la faune sauvage
La Ligue française pour la protection des oiseaux voit le jour le 26 janvier 1912, d’abord en tant que sous-section de la Société nationale d’acclimatation de…
Lanarvily, 450 habitants et son circuit de cyclo-cross
Le néon blafard jette une lumière crue sur des affiches éparses : une équipe cycliste professionnelle, une playmate, les championnats du monde de cyclo-cross de 1982……
Le kouign des Gras, du gâteau de ferme à la spécialité boulangère
Pain doux bigouden, kouign des Gras , kouign de Kerrest, gâteau des Gras, pastéchou, miche beurrée, fars Ened de Douarnenez, bara-douss… Derrière ces appellations, on trouve…