Plus habitué à mettre de l’ordre derrière une scène qu’à écrire, Tangui Le Cras trouve dans son premier film la distance et le ton pour évoquer un sujet délicat : ne pas succéder à son père à la ferme.
Autres articles de ce numéro:
A lire également
Françoise Grall contre l’herbe d’oubli
À Concarneau, Françoise Grall veille la belle mémoire et l’oeuvre littéraire de son mari, Xavier. Elle s’inquiète des livres épuisés, travaille inlassablement à favoriser leur nouvelle publication, se…
Michel Le Nobletz, le missionnaire aux images peintes
Les tableaux de mission de Michel Le Nobletz sont un exemple d’utilisation de l’image au service d’un pédagogue mystique. À découvrir dans le livre que les éditions Locus Solus…
Le voyage en islam de Bénédicte Pagnot
Toujours soutenue par son producteur rennais Gilles Padovani de .Mille et Une. Films, Bénédicte Pagnot s’essaie au documentaire de long métrage. Depuis mars, Islam pour mémoire…
À Quimperlé, l’hôpital médiéval revit
L’hôpital Frémeur entame une nouvelle vie à Quimperlé. Cet ensemble médiéval a été partiellement restauré et ouvert pour la première fois au public en septembre 2017.
Édito – Ce temps remis à neuf
Mona Ozouf est une grande dame. Pour ArMen, Alain-Gabriel Monot l’a rencontrée, s’est entretenu longuement avec elle. Sa parole est limpide, la pensée se déroule sans accroc, comme…
Fin ar Bed : la série qui rompt les amarres
La série bretonnante Fin ar Bed est diffusée à la télévision cet automne. L’aboutissement d’une longue maturation pour un road-movie à trois personnages que la réalité…