La culture bretonne semble, en ces années 2020, très fragilisées, entre recul linguistique et crise
des structures associatives. Il semblait important d’ouvrir les colonnes d’ArMen à une série de
débats sur ces questions. C’est Yann Le Meur, natif de Châteauneuf-du-Faou, écrivain et sonneur
(repenti), qui ouvre cette nouvelle chronique.